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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 22:20

Dimanche 11 mars 2012

Belgique – Province de Liège – Xhoris

Xhoris (Ferrières) – Les Rixhalles – Chapelle Saint Hubert - Xhoris

Longueur de la promenade : 6.4 km

Altitude minimale : 233 mètres

Altitude maximale : 349 mètres

Balisage : absent.

GPSies

Mon épouse et moi, nous partons de la petite place qui jouxte le misée rural, sur la grand-route qui traverse le beau village de Xhoris. Nous gagnons l’église, qui trône au milieu du bourg et est entourée de maisons à l’architecture typique, puis passons devant une grosse ferme en pierres grises, transformée en centre de vacances pour clients néerlandophones. Au bout de cette ferme, nous prenons à droite un petit sentier, qui amène à une sorte de pelouse. Nous obliquons vers la gauche, et remontons, le long d’un golf miniature, vers un petit bois où un parcours sportif a été aménagé. Les panneaux expliquant les différents exercices à effectuer sont uniquement en néerlandais ( !). Le contraire serait-il encore possible au Nord de notre pays, à l’heure actuelle ? Nous traversons le petit bois, en montée constante et atteignons une petite route qui, vers la droite, en rejoint une autre.

VillageEn face, nous empruntons un chemin de campagne, qui se transforme en sentier un peu chaotique, et rejoint les quelques maisons du hameau des Rixhalles. Nous tournons à gauche, pour suivre un large chemin remontant à travers un bois, puis dans une campagne mixte, qui commence lentement à reverdir, jusqu’à la grand-route de Barvaux.

Campagne Là nous tournons à gauche, traversons la grand-route aux abords du restaurant (grec !) isolé, et prenons le chemin de droite à la fourche qui se présente devant nous.  Le chemin traverse une belle forêt, dont la quiétude est perturbée par une troupe d’hurluberlus qui s’amusent à jouer à la guéguerre avec des armes factices, tirant de petites billes de plastique. Chacun se divertit comme il peut, mais j’aurais apprécié qu’ils n’eussent pas abandonné les réservoirs en plastique vides ayant contenu leurs munitions au beau milieu des bois…

Traversant une clairière, nous rejoignons une petite route asphaltée qui nous amène à une romantique chapelle endormie sous les grands arbres. La carte l’appelle « chapelle Saint-Hubert », mais c’est une statue de Saint Roch qu’elle abrite… Un banc nous permet de nous restaurer, et de lier conversation avec un vieux monsieur qui a passé toute sa vie dans le village, et qui aurait tendance à nous la raconter.

Chapelle

Au bout d’un petit quart d’heure, nous reprenons notre promenade sur la gauche, par une route qui rejoint la grand-route, que nous retraversons (prudence : les automobilistes roulent comme des fous sur ce tronçon droit en pente…). Nous nous retrouvons dans la rue dite « du Grand Bati », qui nous amène à travers les prairies à un carrefour. Nous prenons à droite, puis encore la deuxième petite route à droite. Un peu plus bas, nous quittons l’asphalte au niveau d’une grande barrière verte, qu’il ne faut pas hésiter à pousser (elle n’est pas fermée à clé), car elle permet d’atteindre un sentier public, qui constitue une servitude de la propriété privée traversée. Ce sentier serpente un peu, et passe plusieurs échaliers, toujours en descente. Le cadre où il évolue est particulièrement agréable. Nous atteignons finalement un groupe de maisons, au milieu desquelles nous nous engageons vers la gauche dans un autre sentier, qui se dirige vers l’église de Xhoris, visible au loin. Ici encore, la promenade est très pittoresque.

Eglise avec âne Nous rejoignons finalement l’arrière de l’école, puis le centre du village, à deux pas de notre véhicule.

Quelle belle boucle !

Tussilage

  

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 19:32

Mercredi 7 mars 2012

Belgique – Province de Liège – Lambermont

Lambermont (Verviers) : promenade du Fiérain

Longueur de la promenade : 6.0 km

Altitude minimale : 185 mètres

Altitude maximale : 272 mètres

Balisage: rectangle bleu.

GPSies

Ma promenade commence sur la place de Lambermont, village-banlieue surplombant la ville de Verviers ; à côté de cette place, un grand parking permet de laisser son véhicule.

Je remonte entre deux maisons vers une autre placette (je crois qu’elle s’appelle place Collo), où je tourne à gauche dans la rue du Beau Site. Le balisage que je suivrai tout le long du chemin est constitué d’un rectangle horizontal bleu sur fond blanc. Il est très fiable, sauf au début, où il faut parfois un peu le chercher. Je traverse une sorte de cité-jardin, jusqu’au moment où la route fait une coude vers la gauche. Là, je continue tout droit, sur un sentier qui dégringole vers un petit vallon. A mi-pente, je retrouve le bout d’une rue asphaltée ; je la traverse et bientôt, le sentier oblique vers la gauche pour cheminer en ondulations légères, au fond des jardins. Au bout de la cité, il fait une grande courbe vers la droite, descend presque au fond du vallon, et repart en sens inverse. On passe à côté d’un ancien moulin restauré, qu’on voit malheureusement très mal, puis en surplomb d’une mare qui a récemment été réhabilitée. Le sentier suit le joli ruisseau du Fiérain pendant deux petits kilomètres, dans un paysage très bucolique.

Vallée du Fiérain 

A un moment donné, il longe une sorte de gros rocher fait d’une succession de strates schisteuses, et un panneau didactique explique au curieux qu’elles sont entrelardées de nodules de calcaires, parfois dissous par l’érosion, ce qui explique la présence de grosses « bulles » vides au milieu de la roche. Les taches rouges signalement la présence de fer, qui a donné son nom au ruisseau.

Je finis par atteindre un carrefour, et une jolie maison isolée en pierres brunes. Je tourne à droite, dans un chemin pierreux qui remonte sur le plateau, et que j’ai déjà emprunté il y a quelques mois. Il fait un coude vers la gauche. Un banc bien placé me permet un petit repos, puis j’atteins un hameau habité. Juste après une maison, j’oblique à gauche et, par des échaliers, traverse en forte descente une série de prés, pour retrouver le vallon du Fiérain, qui prend ici sa source. Je remonte l’autre versant . Au loin, dans le coin d’un pré, je remarque une plaque de fleurs jaunes, que je prends d’abord pour des ficaires, en me disant qu’elles fleurissent bien tôt. Au fur et à mesure que je m’en rapproche, je m’aperçois qu’il s’agit en fait d’une colonie d’Eranthis  hyemalis, une autre plante de la famille des renonculacées, très précoce et beaucoup plus rare sous nos climats. Les fleurs, ouvertes au soleil ou refermées en boutons, entourées de leurs bractées foliacées très découpées, sont absolument superbes, et retiennent mon attention très longtemps.

Eranthis Je les quitte à contrecœur (je n’en avais jamais observé jusqu’à présent en Belgique) et, continuant mon ascension, rejoint un autre chemin, et le hameau de Tribomont. Je tourne à droite à la route et, un peu plus loin, vers la gauche. Aux dernières maisons, j’atteins un carrefour, où je prends à droite, à angle droit. Un joli chemin de campagne me permet de traverser de vastes prairies, et d’arriver à la grand-route reliant Lambermont à Petit-Rechain.

Tribomont J’emprunte cette route vers la droite, entre dans Lambermont et, à un carrefour garni d’un  petit square, oblique vers la gauche, le long du parc du château de Joncmenil. Celui-ci, de même que le château, sont totalement invisibles, dissimulés derrière une haute clôture garnie de barbelés. Ils doivent en avoir des choses à cacher, les propriétaires ! J’atteins bientôt une route, où je tourne à droite, puis à gauche, pour atteindre l’église de Lambermont, et la place d’où je suis parti une heure et demie plus tôt.

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 23:11

Dimanche 19 février 2012

Belgique – Province de Liège – AYWAILLE

Dieupart (Aywaille) – Kin – Hénumont – Dieupart

Longueur de la promenade : 6.6 km

Altitude minimale : 138 mètres

Altitude maximale : 307 mètres

Balisage : partiel

GPSies

Il ne fait pas particulièrement beau ce dimanche, mais nous sentons un besoin d’air frais, et nous nous décidons en début d’après-midi pour une promenade familiale, qui démarre de l’église classée de Dieupart , entre le centre d’Aywaille  et le village de Remouchamps.

Certaines parties de cette église remontent au 12ème siècle, mais le gros du bâtiment n’a pas plus de 300 ans. Cependant, un bas-relief maçonné dans la tour est sans doute plus ancien, puisque les personnages qui y sont représentées portent des vêtements datant de la fin du Moyen-Âge.

Eglise de Dieupart

Nous traversons la grand-route, et passons sous le chemin de fer par un pont étroit. Une centaine de mètres plus loin, nous quittons déjà l’asphalte et obliquons vers la droite, en direction d’une carrière. Ici, les rochers sont partout, souvent vertigineux, et la carrière a d’ailleurs été aménagée en terrain d’escalade. Au pied de la falaise, nous nous dirigeons vers la gauche, et retrouvons un GR® qui escalade littéralement la colline. A plusieurs reprises, et bien que cette montée ne soit pas très longue, nous devons nous arrêter, mon épouse et moi, pour reprendre haleine, tant elle est exigeante. Mons fils, lui, file en avant. Nous atteignons le plateau en sous-bois, et un chemin forestier que nous prenons vers la gauche. Il arrive en lisière, et continue vers les premières maisons du village de Kin, où il se recouvre d’asphalte. Je me souviens de ce village qui, il y a trente ans, était très rustique et fort peu habité. Les prairies qui l’entourent sont désormais couvertes de maisons et de petites villas, transformant le hameau en une sorte de cité-dortoir, à quelques centaines de mètres seulement de l’entrée de l’autoroute…

Notre petite route en rejoint une plus large, qui remonte doucement vers le vieux village, lequel a, malgré tout, encore gardé son cachet d’antan. Au « centre », nous obliquons vers la gauche et, à une fourche, prenons la branche de droite qui descend dans un joli vallon. KinNous y retrouvons la forêt, et atteignons un carrefour de chemins, où nous continuons tout droit, en montée assez forte. Pour l’instant, il fait encore à peu près beau, mais le ciel se couvre petit à petit de lourds nuages gris foncé.

Gui

Notre beau chemin évolue pratiquement en ligne droite à travers une majestueuse forêt jusqu’à un petit carrefour qui surplombe l’autoroute des Ardennes. Nous tournons carrément à gauche, dans un chemin d’exploitation qui suit la crête de la colline, puis entame lentement la descente.

Forêt

Il commence à neiger, d’abord finement, puis très vite à gros flocons, qui obscurcissent notre regard et nous obligent à nous protéger. Pas de risque de se fourvoyer cependant, il suffit de suivre le chemin en ligne droite. Au bout d’un gros quart d’heure, le sol est recouvert de plusieurs centimètres de neige.

NeigeC’est à ce moment que nous quittons la forêt, pour découvrir les prairies immaculées aux abords du hameau de Hénumont . Celui-là n’a pas encore été découvert par les navetteurs en mal de campagne. Il ne se compose que de quelques maisons fort quelconques, entourant une grosse ferme flanquée de disgracieuses étables. Mais, grâce à la neige, l’endroit est très romantique.

Hénumont

A la ferme, nous retrouvons l’asphalte mais, en tournant à gauche, nous le quittons presque immédiatement. Et peu après la sortie du hameau, nous nous engageons à droite dans un petit chemin entre les prairies.

Il rejoint un bois, que nous traversons sur sa longueur, en descente, et nous amène au chemin de fer, dans la vallée de l’Amblève.

Un petit tunnel nous permet de le retraverser et, le longeant de l’autre côté, nous retrouvons bientôt l’église de Dieupart et la charmante placette qui lui sert de parvis.

Un très beau petit tour, rendu encore plus agréable par cette neige inattendue.

 Hellebore

L'hellébore (Helleborus foetidus) est déjà en fleurs...

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 21:08

Dimanche 12 février 2012

Belgique – Province de Liège – JEHANSTER

Jehanster (Theux) – Vervierfntaine – Surister (Jalhay) - Jehanster

Longueur de la promenade : 7.5 km

Altitude minimale : 296 mètres

Altitude maximale : 390 mètres

Balisage : partiel

GPSies

Départ de la petite place du village de Jehanster, entre Verviers et Polleur, en début d’après-midi. Sur cette place, il y a un restaurant dont j’ai malheureusement oublié le nom, mais dont le menu parait bien sympathique… (je viens de regarder sur Google : c’est L’école buissonniere parce qu’il est installé dans l’ancienne école…). Je laisse l’église derrière moi, et remonte légèrement jusqu’à un fourche, dont j’emprunte la branche de droite. Je me trouve dans le Chemin du Bois des Récollets. Il est bordé de jolies maisons, type pavillons, jusqu’à l’orée du bois. Le chemin, et plus généralement toute la campagne, sont recouverts d’une couche de neige d’une dizaine de centimètres d’épaisseur et, avec les nuages gris et bas qui remplissent le ciel de ce jour, l’ambiance est hivernale à souhait. Mais il ne fait pas trop froid.

Bocage

Le chemin traverse le bois sur toute sa longueur, puis atteint une zone de pâturages, qu’il traverse également.  Très belle vue devant et autour de moi. Je passe aux abords d’une ferme isolée, et finit par rejoindre l’asphalte, à l’entrée du hameau de Vervierfontaine, et à hauteur de l’auberge de Hélivy .

Je tourne à droite et, au carrefour un peu plus loin, suis encore la route qui va vers la droite, en direction du village de Surister. Après quelques centaines de mètres, pour m’épargner un tronçon d’asphalte, j’oblique à gauche, et traverse un pré, entre deux échaliers. Je rejoins un chemin empierré qui, vers la droite, me conduit au centre de Surister, où un banc sur la place me permet de prendre une petite collation. Sur cette même place, un petit perron rappelle ceux de Theux ou de Liège.

Perron de Surister

Restauré, je longe la rue principale vers Sart, passe devant l’église puis, entre deux maisons, emprunte sur la droite un petit sentier qui aboutit à un échalier, que je franchis pour me retrouver dans une prairie en pente raide. Je la traverse en ligne droite (beau tronçon sous la neige) et remonte toujours aussi abruptement jusqu’à la lisière d’un bois, où un autre échalier m’attend. Je le passe lui aussi, mais au-delà, il n’y a plus rien : le sentier a sans doute été envahi par la végétation. Qu’à cela ne tienne, il existe virtuellement, et il suffit de continuer tout droit, entre les arbustes, pendant une cinquantaine de mètres, pour rejoindre une voie forestière que l’on suit également tout droit. Elle conduit à un carrefour en T, et à un chemin empierré, où je tourne à gauche.

AlléeJe longe la lisière du bois jusqu’à un petit carrefour, où je prends vers la droite, le long d’un charmant ruisseau. Je dépasse un chalet de campagne isolé, traverse juste après le ruisseau en question sur un ponton de béton (les véhicules automobiles passent à gué), et remonte une petite route tranquille et sinueuse, dans le bocage. Un dernier carrefour, où je tourne à droite, et je retrouve lentement Jehanster, son restaurant (fermé à cette heure-là) et mon véhicule.

Promenade facile et variée, adapté selon moi à toutes les saisons.

Cône

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 19:42

Vendredi 10 février 2012

Belgique – Province de Liège – SPRIMONT

Lincé (Sprimont) – Dolembreux – Ogné - Lincé

Longueur de la promenade : 8.0 km

Altitude minimale : 196 mètres

Altitude maximale : 288 mètres

Balisage : partiel

GPSies

Il fait un temps hivernal magnifique, sans vent mauvais, et une température légèrement négative : l’idéal pour randonner.

Je pars de l’église de Lincé, hameau de la commune de Sprimont , et remonte la rue jusqu’au rond-point. Je continue tout droit, passe devant quelques maisons dispersées, et me retrouve sur un chemin agricole d’où j’ai une très belle vue vers la campagne de Dolembreux. Ce chemin descend lentement vers un petit bois, et de là dans un vallon. Il fait un coude vers la droite, et traverse un ruisseau. L’endroit est charmant.

Ruisseau

Un peu après le ruisseau, j’atteins un carrefour, dont j’emprunte la branche de droite. Je suis sur un GR®. Le chemin empierré remonte sur le plateau, à courte distance d’une grosse ferme. Nouveau carrefour, où j’oblique une nouvelle fois vers la droite, dans un chemin étroit qui traverse les prairies enneigées. Voilà un autre vallon, aussi pittoresque que le premier. Sur la gauche, à 50 mètres de moi, un renard cherche sa pitance. J’ai le vent de face, et il ne se méfie donc pas, car mon odeur n’arrive pas jusqu’à lui. J’ai même le temps de le photographier, de loin.  renardBientôt, le chemin s’élargit, et atteint le lieu-dit Wachiboux, qui fait partie de Dolembreux , où il rejoint une route asphaltée. Je la suis pendant 50 mètres vers la gauche, puis oblique à droite. Je passe derrière une superbe propriété moderne, avec grand parc et étang, et me retrouve dans la campagne, sur un chemin qui s’incurve vers la droite, pour atteindre les premières maisons du Heid des Chênes. A la patte d’oie, négligeant les rues asphaltées et celles qui conduisent à des propriétés privées, je continue tout droit le long du ruisseau.  Le chemin serpente une nouvelle fois à travers la campagne, jusqu’à une petite route au bord de laquelle se trouve un banc, sur lequel je m’assieds quelques minutes pour me restaurer.

Je continue ensuite cette route vers la gauche, jusqu’au hameau d’Ogné, où j’aboutis à un grand carrefour. J’y emprunte la voie asphaltée qui se trouve en face de moi, et qui descend vers le centre du hameau, à une petite place bordée par une belle ferme et par une ancienne pompe à eau.  Bifurquant carrément à droite, je remonte entre les talus pour rejoindre la campagne. Par ce temps magnifique, et avec la neige qui scintille sur les prairies, la vue Lincéest tout simplement superbe.

Le chemin rejoint bientôt une route, qui me ramène vers la gauche à l’église de Lincé.

Randonnée à conseiller !

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 10:25

Dimanche 5 février 2012

Belgique – Province de Liège – VILLERS LE TEMPLE

Villers le Temple (Nandrin) – Outrelouxhe (Modave) – La Forge – Villers le Temple

Longueur de la promenade : 8.5 km

Altitude minimale : 186 mètres

Altitude maximale : 262 mètres

Balisage : partiel

GPSies

Je pars par une belle après-midi d’hiver de la place communale de Villers-le-Temple. Elle jouxte l’église, qui est un bâtiment classé, mais pas très photogénique. Un peu plus loin se trouvent les restes de l’ancienne commanderie des Templiers,  dont on remarque surtout une tour d’angle circulaire. Je longe l’enceinte, et passe devant un petit château, en retrait de la route. Il est à vendre, mais à quel prix ?

ChâteauAu carrefour juste après, je continue tout droit, puis je prends à gauche par une petite route asphaltée qui longe le village dans un vallon. Encore à gauche au carrefour suivant, et le chemin m’amène au moulin d’Hoboval, qui est une exploitation agricole. Plus loin, il traverse un bosquet, toujours dans le même vallon, et conduit à une groupe de deux ou trois maisons isolées dont une, sur la gauche, est particulièrement bien aménagée.

Hoboval

A cet endroit, je bifurque franchement vers la droite, et remonte un chemin d’exploitation à travers un petit bois. Au carrefour suivant, où on a une belle vue sur Villers-le-Temple, je prends à gauche. Je traverse le beau bois de Lorifontaine. Sur la droite, je longe un pré, au bout duquel je tourne à droite. Le chemin forestier redescend lentement, dans un bel environnement, jusqu’à un ruisseau (plutôt une rigole), d’où il remonte vers les premières maisons d’Outrelouxhe. J’atteins une rue asphaltée, que je prends vers la droite, puis à gauche au premier carrefour et encore à droite. Le village est tranquille, mais peu intéressant du point de vue architectural. De nombreuses nouvelles maisons, sans homogénéité, se mélangent aux bâtiments anciens, qui ne sont guère entretenus.  Lorsque la route fait un coude vers la droite, je prends un chemin à gauche, qui me permet de traverser la campagne, plus calme. J’arrive à un carrefour en T, dont j’emprunte la branche de gauche. La petite route descend, et tourne à droite vers une maison isolée et très bien située, qui constitue le hameau de Chaumont. Juste avant l’entrée de la propriété, la route tourne encore à droite et je m’aperçois que, plus loin, se trouvent encore une ou deux autres maisons, un peu cachées dans la verdure. 

 ChaumontJe passe devant et, juste après, ma carte m’indique que je dois virer sur la gauche, dans un sentier.  A cet endroit, le petit bois a été complètement rasé, et les véhicules des forestiers ont fait disparaître le sentier. Il faut donc descendre à travers les souches et les branches mortes. Ce n’est pas difficile, et on aboutit rapidement à un sentier, qui longe le charmant ruisseau d’Oxhe. Je le prends vers la droite, et rejoins le lieu-dit La Forge, succession de belles maisons en pierres du pays. L’une d’elle propose des chambres d’hôtes. J’atteins une placette, d’où je remonte vers la gauche le Thier du Marnave. Lorsque cette petite rue oblique vers la gauche, je continue tout droit dans un sentier qui longe le fond des jardins. Plus loin, je prends un autre sentier vers la droite, lequel m’amène au lieu-dit « Au Soleil », et à une petite route que j’emprunte pendant deux cents mètres vers la droite. Je tourne alors à gauche, longe un autre ruisseau, par un sentier en fond de jardins. C’est un tronçon très agréable. Au bout de quelques centaines de mètres, un dernier sentier à droite me permet de remonter sur la colline, et d’atteindre une route qui, en quelques minutes, me reconduit vers la droite à la place du village.

Promenade vraiment agréable, variée et sans grande dénivellation.

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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 21:21

Vendredi 3 février 2012

Belgique – Province de Liège – ESNEUX

Esneux – Amostrenne – Rond Bati - Esneux

Longueur de la promenade : 7.8 km

Altitude minimale : 88 mètres

Altitude maximale : 231 mètres

Balisage : rectangle vert (Tour du Mary)

GPSies

Aujourd’hui, je laisse ma voiture à Esneux, sur le parking où se déroule le marché hebdomadaire, le long de l’Ourthe. Je traverse la rivière, et la suit sur l’autre rive, vers l’aval, pendant quelques centaines de mètres. Elle charrie des glaçons, et la vue est belle.

Ourthe

J’oblique bientôt à gauche dans une route qui escalade la colline, puis encore à gauche, pour entrer dans le parc du Mary. Le chemin empierré remonte lentement le long d’un ruisseau ; le parc est sauvage, enneigé et serti de trois étangs gelés. C’est bucolique et joli tout à la fois.

Parc Mary Même si le chemin devient plus étroit, la montée n’est pas trop rude. Après un gros quart d’heure, voire un peu plus, la promenade quitte le chemin et s’infléchit vers la droite, en empruntant un sentier plus abrupt qui grimpe en zigzags jusqu’à une rue bordée de maisons. Je la traverse, et prends en face une petite rue qui descend vers le joli hameau d’Amostrenne. Sur sa place centrale, bordée de vieilles maisons en pierres grises et ocre, un arbre centenaire et majestueux, ainsi qu’un crucifix veillent sur la population, entourés d’une grille en fer forgé.

Amostrenne A cet endroit, la sagesse aurait voulu que, suivant les indications de la promenade balisée, je retourne sur mes pas jusqu’à l’entrée du village. Mais, me fiant à ma carte militaire, je décide de faire une boucle par les bois et de rejoindre la promenade plus loin. Ce n’est pas une bonne idée. Tournant à gauche au gros arbre, je passe entre deux maisons et descends entre les prés, par un chemin rural, vers un vallon. Là, je traverse un ruisseau et le remonte vers la gauche sur un chemin forestier. Jusque là, tout va bien, jusqu’à ce que je m’aperçoive que ce chemin est obstrué sur plusieurs dizaines de mètres par des arbres renversés par le vent, qui ont dévalés de la colline. Je suis obligé de me frayer un chemin dans cet amas inextricable de branchages, en faisant de multiples crochets vers la droite et la gauche, et il me faut plus d’une demi-heure pour franchir trois cents mètres ! Quand enfin, il n’y a plus de chablis, il n’y a plus de chemin non plus, et je dois remonter hors du vallon tant bien que mal, en pente très raide.

Finalement, j’arrive au sommet, et retrouve le chemin balisé. Ouf ! Je le suis vers la droite, dans la forêt, m’arrête un temps pour souffler à une table de pique-nique et ne tarde pas à atteindre le carrefour du Rond Bati. Suivant toujours la promenade balisée, j’entame alors une large boucle à gauche sur un large chemin forestier, appelé « Promenade Delsaux ». Un peu plus loin, je lui préfère, toujours sur la gauche, un sentier qui serpente dans les bosquets, et ménage de jolie vues sur le vallon et son autre versant. Il m’amène à un embranchement, ou je rejoins un GR®. Je le suis vers la droite, et retrouve la Promenade Delsaux, laquelle, vers la gauche, me conduit à l’entrée du domaine du

Rond-Chêne , où il s’embranche dans une route asphaltée. Celle-ci descend lentement, passe devant le pavillon touristique de la Heid des Corbeaux (barbecue, salle couverte etc.) et arrive lieu-dit La Salte (belle vue vers le château du Fy, qui domine Esneux sur l’autre rive de l’Ourthe), où je quitte la route principale pour me diriger vers la droite. Je remonte un peu, puis dégringole à gauche par un escalier, qui rejoint le centre d’Esneux, et ma voiture un peu plus loin.

Une très belle promenade, qu'il vaut mieux faire en suivant strictement le balisage...

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 20:44

Jeudi 2 février 2012

Belgique – Province de Namur – Boneffe

Boneffe (Eghezée) – Bolinne – Taviers - Boneffe

Longueur de la promenade : 9.4 km

Altitude minimale : 134 mètres

Altitude maximale : 153 mètres

Balisage : aucun

GPSies

J’aime la Hesbaye en hiver, pour ses grandes étendues immaculées, souvent survolées de rapaces affamés et traversées de lièvres en goguette.

Aujourd’hui, je suis un peu déçu car, si les grandes étendues sont de la partie, la couche de neige qui les recouvre est vraiment très mince, et déchirée de vastes surfaces vertes ou brunes.

Il fait froid, terriblement froid, et la bise qui souffle sans rencontrer d’obstacle accentue l’impression de glacière.

Je pars de la place de Boneffe, à deux pas de la grande église décapitée de son clocher.

BoneffeJe passe à côté de ce monument puis un sentier me conduit à la rue du Parc, que je prends vers la gauche. En face de moi, une centaine de bernaches se reposent dans un pré.

BernachesJe traverse la Mehaigne

Mehaigne et atteins bientôt l’ancienne abbaye, occupée par trois fermes et, en face, l’entrée monumentale qui donne sur ledit parc, malheureusement privé. Je les dépasse, tourne à droite puis, au carrefour suivant, continue tout droit. Je quitte les lieux habités, passe un petit bois, et me voilà dans la vaste campagne cultivée. J’ai pour l’instant le vent dans le dos, et j’avance bien, jusqu’aux premières maisons du village de Bolinne.

Une fois que je les ai dépassées, je tourne à droite, puis encore une fois quelques centaines de mètres plus loin, avant une grosse ferme. Je suis encore sur un chemin de remembrement, mais cette fois-ci j’ai le vent de face, et il est glacial. Le chemin traverse de vastes terres de culture, fait finalement un coude serré vers la gauche et, traversant un bosquet, atteint les premières maisons du village de Taviers . A ma droite, le long d’un ruisseau, un  vaste quadrilatère parsemé de roseaux forme une zone humide qui doit être riche en biodiversité. Je le longe sur deux de ses côtés ; vers la gauche, au loin, s’élève une belle grande ferme toute blanche.

Ferme blanche J’atteins le centre du bourg. Un petit crochet me permet de voir la place, et sa jolie église.

Je traverse ensuite la grand-route et prends un nouveau chemin de remembrement sur la droite ; il quitte le village, jusqu’à un carrefour, où il rejoint une ancienne chaussée romaine, celle qui reliait Tongres à Bavay. Sur la gauche, une petite chapelle dédiée à Saint Donat s’élève, isolée, au milieu des champs.

Je suis la chaussée vers la droite, avec encore le vent, vif et glacial, en pleine face. J’ai si froid aux joues et aux mains que, de temps à autre, je dois me retourner et progresser à reculons. Mais le ciel est d’un bleu azur, qu’aucun nuage n’entache. J’avance ainsi pendant près de deux kilomètres, en ligne droite, et dépasse deux carrefours. La vue sur la campagne enneigée est très belle, et porte loin. CampagneAu troisième carrefour, je prends à droite un chemin de terre (seul tronçon non asphalté ni bétonné de ma promenade). Il m’amène à l’entrée de Boneffe, à une chapelle hexagonale bien mal entretenue. Je retrouve la grand-route, que je traverse pour atteindre mon véhicule congelé.

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 13:20

Dimanche 29 janvier 2012

Belgique – Province de Liège – RAEREN

Autour de Raeren

Longueur de la promenade : 10.3 km

Altitude minimale : 277 mètres

Altitude maximale : 363 mètres

Balisage : drapeau vert/blanc/rouge puis losange vert

GPSies

 

La journée est froide et triste, le ciel est recouvert de nuages opaques et une brume hivernale enveloppe le paysage. On sent qu'il va neiger. Mais nous avons besoin d’air, et nous nous décidons pour une promenade en famille.

Nous partons de l’ancienne gare de Raeren , desservie jusqu’à l’an dernier par un train touristique, le Vennbahn, dont le trajet va être transformé en piste cyclable.

Nous longeons les rails pendant quelques centaines de mètres, suivant le balisage vert/blanc/vert. Au bout des installations de la gare, nous tournons à droite dans un sentier qui s’arrête à un pré. Le grand village de Raeren s’étend à notre droite avec, au premier plan, une villa moderne toute blanche, entourée d’un grand parc. Nous traversons le pré en diagonale, passons un petit ruisseau, et rejoignons une rue qui remonte vers l’agglomération. Nous atteignons une petite place, appelée « Am Plei », que nous traversons. Un autre sentier nous conduit vers la rue principale de Raeren, que nous atteignons au niveau d’une jolie maison ancienne.

Belle maisonNous empruntons cette rue vers la gauche, et la suivons jusqu’à l’église. Là, nous tournons à droite, et longeons d’assez loin le cours d’un autre ruisseau, l’Iterbach. Nous retrouvons une autre route qui, vers la droite, nous conduit au beau château de Raeren, qui a récemment été restauré et héberge le musée de la poterie (les habitants de Raeren étaient traditionnellement potiers, ce qui les opposaient à leurs voisins d’Eupen, qui était plutôt tisserands). En face, la maison Zahlepohl abrite le syndicat d’initiative.

ChâteauUn peu plus loin que le château, nous quittons la route pour remonter à travers un calvaire, où nous nous arrêtons quelques instants pour reprendre des forces.

Nous suivons désormais la promenade balisée d’un losange vert. Elle rejoint la route en haut de la colline, puis la quitte, vers la gauche, pour se diriger vers le terrain de football.  Vers la droite, le sentier rejoint un groupe de maisons, et aboutit à une petite route qui nous conduit au lieu-dit Pützhag, puis à une ferme isolée dans un vallon.

PützhagNous tournons à droite et rejoignons bientôt une route qui forme la frontière belgo-allemande. Nous la prenons vers la droite, jusqu’aux premières maisons de Raeren, où nous obliquons à gauche vers une ferme. Plus loin, le chemin entre en forêt. Nous poursuivons jusqu’à un carrefour, où un banc nous offre une seconde pause. De là, nous tournons à droite dans un coupe-feu, qui retrouve les lieux habités, et une route que nous traversons. Au bout de celle-ci, une dernière bifurcation à droite nous ramène sur la route, et nous permet de rejoindre la gare.

Une belle promenade sans difficulté, à faire en famille.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 20:52

Lundi 16 janvier 2012

Allemagne – Land de Rhénanie du Nord-Westphalie – BAD MÜNSTEREIFEL

Bad Münstereifel – Am Stocker – Eschweiler – Iversheim – Bad Münstereifel

Longueur de la promenade : 14.6 km

Altitude minimale : 245 mètres

Altitude maximale : 435 mètres

Balisage : varié

GPSies

Bad Münstereifel est une petite ville à une dizaine de kilomètres d’Euskirchen, dans l’extrême nord-est de l’Eifel.

Parce que je redoute (inutilement d’ailleurs, je m’en apercevrai plus tard) les problèmes de parking dans la ville, je ne pars pas de son centre, mais du lieu-dit « Hirnberg », sur la jonction vers l’autoroute Cologne-Trèves, où un grand terre-plein est aménagée pour les voitures des promeneurs.

Je me dirige vers le bois et, juste après la dernière maison, je tourne à gauche dans un chemin empierré qui descend lentement vers un vallon, en suivant un petit ruisseau. Ce chemin, balisé des chiffres « 10 » et « 11 », longe approximativement la lisière de la forêt. A une fourche, je délaisse la promenade « 11 », et poursuis la « 10 » vers la gauche. Je longe un talus, qui est en fait une pelouse calcaire, et atteins un petit pont, où je traverse l’Eschweilerbach.

Vallon

Je prends à gauche une petite route asphaltée qui passe devant quelques maisons puis, trois cents mètres plus loin, à droite une rue appelée « Am Stockert » ; elle pénètre en forêt, perd son revêtement et remonte la colline en amples zigs-zags (c’est toujours la promenade « 10 »). Après un virage à angle droit et une longue ligne droite, elle atteint une clairière au sommet, sur laquelle, depuis 1956, est installé un observatoireastronomique, qu’on peut visiter sur rendez-vous. La construction est assez impressionnante.

AstropeilerLa promenade redescend lentement l’autre versant, et traverse un terrain de golf; un écriteau prévient le promeneur d’avoir à faire attention aux balles volantes : c’est donc avec précaution que je rejoins une petite route asphaltée, qui descend jusqu’à une grand-route, laquelle remonte vers le village d’Eschweiler . L’église de ce dernier, blanche et juchée sur une colline, est visible de loin.

EschweilerJe la dépasse et, peu après, bifurque à gauche dans une rue qui dégringole vers un autre vallon. L’ayant atteint, je tourne à droite et le suis pendant plusieurs kilomètres, d’abord sur une petite route asphaltée sans aucune circulation, puis sur un chemin empierré.

J’atteins le village d’Iversheim , où je traverse la voie de chemin de fer. Je rejoins la rivière Erft, la traverse elle-aussi, en face de l’église (joli coup d’œil), et prends à droite la route qui la borde, puis s’en éloigne pour frôler la grand-route. Je suis désormais sur le chemin de Saint-Jacques. Il n’emprunte pas la grand-route mais, sur sa gauche, un chemin qui remonte entre les maisons, puis chemine à mi-hauteur en sous-bois.

Iversheim

J’atteins de cette façon la ville de Bad Münstereifel. C’est une localité extrêmement pittoresque, qui rappelle un peu Monschau (Montjoie), l’encaissement en moins. Entourée d’une muraille de pierres rougeâtres sertie çà et là de tours et de poternes, elle est parcourue de rues pavées bordées de maisons à colombages. En son centre, la basilique des Saints_Chrysanthus_et_Daria  à des allures byzantines.

DSC08507Un château médiéval, aux tours rabotées, la domine.  La ville s’est construite autour d’un monastère, qui lui-même s’est établi sur une terre qui a été octroyée aux moines par Zwentibold, roi de Haute-Lotharingie, l’an 898. Autant dire que ses murs ont beaucoup de choses à raconter. Zwentibold a d’ailleurs sa statue à Bad Münstereifel. D’après ce que l’Histoire nous en apprend, on est en droit de se demander s’il l’a bien méritée…

J’entre dans la vieille ville par la porte de Werth (Werther Tor),

Werther Tor la traverse de part en part, le long de la rivière, fait un coude vers la basilique, et en ressort par la porte de Heisterbach. Tout cela en prenant le temps de m’attarder, le nez en l’air, à chaque curiosité. Une fois sorti, je remonte la Bergstrasse, extrêmement pentue, et quitte la nouvelle ville pour me retrouver bientôt à l’hôtel Tanneck, dans les bois tout au-dessus de la colline. J’y rejoins une grand-route qui, vers la gauche, me ramène en cinq minutes à mon point de départ.

Vieille ville

 

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